La vertu du rire
La différence entre moi et Pinget (Robert, dont je lis en ce moment le "Quelqu'un") mais de différences il n'y en n'a pas qu'une, déjà, il est mort et il écrivait ("nouveau roman") en 1965 quand moi je jouais encore aux indiens (oui, je jouais aux indiens et aux petites voitures et coureurs cyclistes en métal) avec mes copains en culottes courtes sales comme des peignes, dans la poussière des petits chemins de l'époque... enfin une des différences, donc, c'est qu'à part le fa it que comme moi il se lève (levait) à huit heures et que comme moi il lui est impossible de "parler le matin" (même un simple "oui" l'indispose - surtout Oui...) c'est que je ne me méfie pas comme lui tellement de mes impressions... quand elles sont mauvaises ("bonnes", c'est différent). Disons en tout cas que je ne m'en méfie pas suffisamment. Je le sais. Me le dis et le redis à chaque "incident". Ou que